Témoignage après plusieurs séances :

Le corps garde en mémoire les agressions émotionnelles et physiques dont il est le témoin, deuil, chagrin d’amour, contrariété, mauvaise position, accident de voiture… 

Dès que l’organisme subit un stress, on observe une baisse du tonus musculaire ». Nous

interrogeons le corps en exerçant une légère pression sur les muscles pour tester leur résistance, et remontons peu à peu à la source problème, qu’elle soit d’origine émotionnelle, structurelle ou biologique et à une amorce de solution, car chaque muscle est relié à un organe lui-même relié à un méridien d'énergie dont le blocage énergétique a des répercussions mauvaises.

L’objectif, c’est de rétablir une bonne circulation énergétique. La personne peut alors accéder à ses propres ressources et se sentir mieux.

La kinésiologie intervient sur des petits maux qui perturbent l’existence, douleurs chroniques inexpliquées dues à des tensions nerveuses (mal de dos, douleurs cicatrices...), stress : suite au surmenage, à un déménagement, à un licenciement... phobie : (avion, ascenseur, conduire, peur du médecin, tomber amoureux ou aller travailler.... difficultés d’endormissement, trac avant les examens, hyperactivité, irritabilité, difficultés de communication, etc.)

Elle a ses limites : La méthode ne guérit une maladie, elle intervient en complément de la médecine traditionnelle ou en prévention. En cas de symptôme comme une douleur, une fatigue, un manque d’appétit, ou une déprime forte, un diagnostic médical est toujours nécessaire AVANT de se tourner vers la kinésiologie.

Exemple d'objectif de séance :

Par exemple, « J’aimerais réagir calmement face à une frustration»

Après un questionnement détaillé, le praticien teste un muscle indicateur (souvent en appuyant légèrement sur le poignet). Sa réaction va permettre de définir la nature du stress et d’orienter vers tel ou tel protocole. Après chaque correction, un contrôle musculaire est toujours effectué. En pratique, la séance dure de trois quarts d’heure à une heure. 

« Je suis plus confiante en la Vie » Isabelle, 38 ans

« Je ne supportais plus aucun bruit, ni mes enfants, ni mon travail, ni mon mari. À tel point que je me suis renfermée sur moi-même. En complément de séances chez un psy, et sur les conseils d’une amie, je suis allée voir Florence et je me suis fixé un objectif : «Je suis ma priorité et j'accepte les autres tels qu’ils sont.» 

Florence me posait différentes questions et mon corps semblait répondre à ma place. Je me rappelle avoir fait des mouvements de jambes et bougé mes yeux dans tous les sens. Les effets n’ont pas été immédiats. Petit à petit, je suis devenue plus tolérante. Le travail avec la psy a été d'un grans soutien et la complémentarité des séances de kinésiologie, m'ont permis de progresser plus rapidement, d'être plus présente à mon corps, mon environnement et d'être moins dans mes peurs.

"La kinésiologie m’a consciemment appris à avoir un comportement différent en accord avec ma vie et qui je suis». Valérie, 50 ans

(par soucis de confidentialité nous l'appellerons Fabien).

Florence Bouillard (FB) : Fabien, peux-tu nous dire pour qu'elle(s) raison(s) tu as vu pour la première fois un(e) kinésiologue ?

Fabien : Sur les conseils d'un proche. J'avais envie de développer de nouvelles activités et de mieux gérer le stress que je peux ressentir à certains moments de ma vie.

FB : Qu'as-tu vécu durant les séances ?

Fabien : Un premier temps d'écoute important. Ensuite une surprise de voir la technique d'interrogation du corps qui est particulière. L'impression que ça s'adresse à moi et en même temps pas à moi. L'important c'est que ce soit efficace. Beaucoup de questions pour exprimer ces ressentis, guider la séance. A un moment donné l'évocation de souvenirs, d'images, qui sont importantes pour dépasser ses propres peurs.

Comme s'il y avait une lumière, une évidence. Une ouverture de la conscience : "bon sang, mais c'est bien sûr..."

Un déclic ; On comprend les liens entre les proches, des mémoires, des souvenirs de sa propre vie. Voir la vie ou le monde différemment, en se sentant libéré d'un lien, d'un poids, d'une phobie.

FB : D'après toi, à quelle fréquence doit-on aller chez un kinésiologue ?

Fabien : Dans l'optique d'un développement personnel, développement de soi (hors difficultés importantes), je pense qu'il faut y aller une ou deux fois par an. Il y a toujours des points de progrès à travailler, encouragé par le résultat des séances précédentes, Plus on ressent le bien-être, plus on a envie d'avancer dans cette voie.

Il n'y a pas besoin d'avoir des difficultés ; se sentir mieux, s'occuper de soi, développer ses ressources, sont des motivations suffisantes pour faire de la kinésiologie.

FB : Fabien, je te laisse le dernier mot pour conclure ...

Fabien : Toutes les personnes qui ont des activités importantes, artistes, grands dirigeants, sportifs... sont tous accompagnés dans leur progression. Pourquoi pas moi ?  

Le fait d'être accompagné par quelqu'un afin de mieux se connaître et gérer le changement, ce n'est pas une faiblesse ; c'est une force.