Isabelle, jeune femme de 28 ans, diagnostiquée maniaco-dépressive (maladie bipolaire) dort beaucoup (jusqu'à 16h par jour). Elle a des crises passagères violentes auprès de ses proches, puis
beaucoup de culpabilité par rapport à cela. Attirée par les substances addictives pour soulager l'anxiété (drogue, alcool), Isabelle est suivie et traitée de façon efficace depuis 15 ans par une
psychologue et par un psychiatre. Elle est toujours sous traitement médical. La 1ère séance est à la demande du papa avec l'accord de la jeune femme.
La demande du papa : "Aider ma fille à vivre une vie plus douce malgré son diagnostique de maladie bi-polaire" . La demande d'Isabelle : "je veux dormir moins pour faire
plus de choses la journée"
Actions menées : Nous avons travaillé avec de nombreux protocoles dans le domaine émotionnel, en lien avec des grandes peurs, sur l'équilibre physique du corps, grâce à un
remodelage en Brain gym (haut/bas, Gauche/droite, Avant/arrière) et en soutien, différents mouvements à faire à la maison et un soutien avec un élixir floral (3 mois).
Bilan : Après 5 séances, Isabelle dort mieux, plus régulièrement et de façon raisonnable. Elle ne dort plus l'après-midi. Elle a un grand plaisir à venir aux
séances, et apprécie notamment de ne pas avoir à raconter ses souffrances passées. Isabelle aimerait faire plus d'activités car elle s'ennuie et a cependant des difficultés à
fonctionner en autonomie.
Nous abordons alors un objectif un peu différent : "je mérite de m'occuper de moi".Pendant les séances nous abordons alors des sujets douloureux de son enfance (qu'elle a déjà traité de
nombreuses fois auprès des psychiatres).
Nous libérons les émotions de certains souvenirs douloureux. Aujourd'hui Isabelle reprend quelques activités musicales auprès d'une association spécialisée et elle continue les séances en
kinésiologie.
Parallèlement à cela, Isabelle voit toujours son psychiatre et continue son traitement médical. Il n'y a aucune visibilité sur l'action de la kinésiologie qur un diagnostique de maladie maniaco-depressive. Cependant comme tout à chacun, la kinésiologie peut permettre de réduire le stress, en complément à un suivi médicamenteux et comportemental.