Les rêves sont comme des ailes de papillon, porteurs d’espoir et d’imaginaire. Ils peuvent nous transporter vers des mondes inexplorés, des désirs profonds ou des souvenirs enfouis. Parfois, ils sont simplement des fragments de notre esprit, des étoiles filantes dans la nuit de notre conscience.
Un rêve n’a pas toujours besoin d’une destination concrète. Il peut être une échappatoire, un moyen de transcender la réalité, ou même un miroir reflétant nos désirs et nos peurs. Ils sont libres, sans attaches, et parfois, c’est dans cette liberté qu’ils trouvent leur beauté la plus pure.
Alors, laissez vos rêves danser, même s’ils ne se matérialisent pas toujours. Ils sont les tisseurs de notre âme, les gardiens de nos secrets, et les compagnons de nos nuits. Et qui sait, peut-être qu’un jour, un de ces rêves se transformera en réalité, comme une étoile filante qui laisse une trace lumineuse dans le ciel de nos vies.
Continuez à rêver, cher voyageur.
Florence Bouillard
(histoire inspirée par Saint-Exupéry*)
Il était une fois un petit garçon qui s’appelait Pierre. Il aimait beaucoup lire, dessiner et rêver. Mais à l’école, il était souvent moqué et maltraité par les autres enfants qui le trouvaient trop différent et trop timide. Ils lui donnaient des surnoms méchants, comme “Pierrot la Lune” ou “Pierre qui pleure” et ils lui prenaient ses affaires ou lui faisaient des croche-pieds.
Pierre se sentait très seul et triste. Il n’osait pas se défendre ni se confier à ses parents ou à ses professeurs. Il se réfugiait dans ses livres et ses dessins où il inventait des mondes merveilleux où il était heureux et aimé.
Un jour, il rencontra un vieil homme qui habitait près de chez lui. C’était un ancien pilote d’avion qui avait voyagé dans de nombreux pays et qui avait connu beaucoup d’aventures. Il avait aussi écrit des livres pour les enfants où il racontait ses rencontres avec des personnages extraordinaires, comme le Petit Prince ou le Renard.
Le vieil homme s’intéressa à Pierre et à ses passions. Il lui parla de ses expériences, de ses valeurs, de ses rêves. Il lui dit qu’il fallait croire en soi, en sa différence, en sa créativité. Il lui dit qu’il fallait être courageux, généreux, respectueux. Il lui dit qu’il fallait aimer les autres, même ceux qui nous font du mal, car ils sont souvent malheureux eux-mêmes.
Pierre fut touché par les paroles du vieil homme. Il se sentit compris et soutenu. Se dit qu’il n’était pas seul, qu’il y avait des gens bienveillants dans le monde. Qu’il pouvait changer les choses, qu’il pouvait être fier de lui, qu’il pouvait être heureux.
Il décida alors de faire face à ses harceleurs. Il leur dit calmement qu’il ne voulait plus qu’ils le dérangent, qu’il avait le droit d’être lui-même, qu’il avait des qualités et des talents. Il leur dit aussi qu’il ne leur en voulait pas, qu’il espérait qu’ils trouveraient leur voie, qu’il était prêt à être leur ami.
Les harceleurs furent surpris par la réaction de Pierre. Ils se rendirent compte qu’ils avaient été injustes et cruels avec lui. Ils se sentirent honteux et confus. Certains s’excusèrent, d’autres se turent. Certains devinrent amis avec Pierre, d’autres l’ignorèrent et cependant un enfant continuait à le harceler ; il lui demandait de faire des choses dont Pierre n'avait pas envie, pour devenir son ami. (donne-moi tel jouet, donne-moi de l'argent, fait moi mes devoirs, t'es qu'un gros nul...)
"Oh ! c’est très méchant de sa part, dit le voisin âgé. Il essaye de profiter de ta gentillesse. Comment réagis-tu face à ces demandes ?"
"Parfois j'obéis, parfois pas. Car je suis très triste que ce garçon ne devienne pas mon ami."
"Je comprends. tu voulais se faire accepter par ce garçon, même s’il était méchant avec toi. Mais ce n’est pas une bonne façon de se faire des amis. Les vrais amis sont ceux qui nous respectent, qui nous soutiennent, qui nous aiment pour ce que nous sommes. Tu pourrais te rendre compte que tu mérites mieux que ce garçon et que tu as déjà des amis qui t’apprécient."
Pierre se rendit compte qu’il n’était pas heureux avec ce garçon harceleur. Il se sentait mal à l’aise, coupable, trahi. Il comprit qu’il n’avait pas à faire des choses dont il n’avait pas envie, ni à se laisser manipuler, ni à subir des moqueries ou des menaces. Il décida de mettre fin à cette relation toxique.
Il dit au garçon harceleur qu’il ne voulait plus être son ami, qu’il ne lui donnerait plus rien, qu’il ne ferait plus ses devoirs, qu’il ne se laisserait plus faire. Il lui dit aussi qu’il n’était pas un gros nul, qu’il avait de la valeur, qu’il avait des passions et des rêves. Lui dit enfin qu’il espérait qu’il changerait de comportement, qu’il deviendrait plus gentil, plus honnête, plus respectueux.
Le garçon harceleur fut surpris et en colère. Il essaya de le convaincre de revenir, de le menacer, de le ridiculiser. Mais Pierre resta ferme et confiant. Il ignora ses paroles et ses gestes. Il s’éloigna de lui et rejoignit ses vrais amis.
Ses vrais amis étaient ceux qui l’avaient soutenu, qui l’avaient défendu, qui l’avaient consolé. Ils étaient ceux qui partageaient ses passions, qui s’intéressaient à ses idées, qui riaient avec lui. Ils étaient ceux qui l’aimaient pour ce qu’il était, qui le respectaient, qui le faisaient grandir.
"Comment se fait-on de vrais amis demanda Pierre au vieil homme ?"
"Se faire de vrais amis n’est pas toujours facile, mais c’est possible. On peut être soi-même, être sincère, être ouvert. On peut chercher des personnes qui ont des points communs avec nous, qui ont des centres d’intérêt, des valeurs, des projets similaires. On peut leur parler, les écouter, les comprendre. On peut leur faire confiance, leur donner de l’attention, leur montrer de l’affection. On peut aussi respecter leurs différences, leurs besoins, leurs limites. On peut être loyal, honnête, bienveillant. On peut être prêt à partager, à aider, à soutenir. On peut être capable de s’excuser, de pardonner, de se réconcilier. On peut être patient, tolérant, flexible. On peut être positif, joyeux, drôle. On peut être courageux, généreux, respectueux."
Voilà quelques conseils pour se faire de vrais amis. Mais il n’y a pas de recette magique. Chaque amitié est unique et précieuse. On la cultive avec soin et avec cœur.
Pierre fut soulagé et heureux. Il retrouva la joie de vivre et la confiance en soi. Il continua à lire, à dessiner et à rêver. Il partagea ses passions avec le vieil homme, qui devint son mentor et son ami. Il partagea aussi ses passions avec d’autres enfants, qui devinrent ses camarades et ses compagnons.
Il grandit ainsi en paix et en harmonie, en gardant toujours dans son cœur la leçon du vieil homme: “On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.”
*«Le Petit Prince», Saint-Exupéry. Conte poétique et philosophique, qui raconte les rencontres d’un aviateur échoué dans le désert avec un enfant venu d’une autre planète. Il a été traduit dans plus de 300 langues et dialectes. Le Petit Prince est donc un livre universel qui touche les lecteurs de tous les âges, de toutes les cultures, de toutes les époques. Il véhicule des valeurs humanistes, comme l’amitié, l’amour, la responsabilité, la tolérance, la curiosité. Il invite à réfléchir sur le sens de la vie, sur la beauté du monde, sur l’importance du cœur.
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Si malgré tout Pierre a besoin de voir un professionnel pour être aidé, on peut d’abord lui faire comprendre qu’il n’y a pas de honte à demander de l’aide et que cela peut lui faire du bien de parler à quelqu’un qui saura l’écouter et le conseiller. Lui expliquer les bénéfices qu’il peut tirer d’une telle démarche, comme se sentir mieux dans sa peau, retrouver sa confiance en soi, résoudre ses problèmes, etc.
Pour le convaincre, on peut utiliser des arguments adaptés à sa situation, à ses besoins, à ses motivations, éviter de le forcer ou de le culpabiliser, mais plutôt le rassurer et le soutenir, respecter son rythme et son choix et ne pas le brusquer ou le juger.
Créer un espace d’intimité : choisir un lieu calme, confortable et sans distraction pour parler avec Pierre. Lui proposer quelque chose à boire ou à manger pour établir un lien. Lui sourire et adopter une posture ouverte et bienveillante.
- Respecter les rituels sociaux : commencer la conversation par des phrases banales comme “comment ça va?”, “tu as passé une bonne journée?”, etc. Cela permet de détendre l’atmosphère et de montrer de l’intérêt pour Pierre. Lui dire qu’on est content de le voir ou de lui parler.
- Copier son interlocuteur : imiter les gestes, les intonations, les expressions de Pierre. Cela crée un sentiment de proximité et de confiance. Lui parler dans son langage, utiliser ses mots, ses références.
- Faire des demandes indirectes : au lieu de lui dire directement “tu devrais aller voir un professionnel”, lui poser des questions ouvertes comme “qu’est-ce que tu penses des professionnels qui aident les gens comme toi ?”, “comment tu te sentirais si tu allais voir un professionnel?”, "qu’est-ce qui t’empêche d’aller voir un professionnel?".
- Utiliser la règle du pied dans la porte : commencer par lui demander quelque chose de facile ou d’agréable, comme “tu veux bien me parler de tes passions?”, “tu veux bien regarder cette vidéo avec moi?”, etc. Puis lui demander quelque chose de plus difficile ou de moins agréable, comme "tu veux bien m’accompagner chez ce professionnel ?".
- Utiliser la règle du rappel : lui rappeler les moments où il a été heureux, fier, courageux, etc. Lui dire qu’il a déjà réussi à surmonter des difficultés, qu’il a du potentiel, qu’il peut s’en sortir. Lui dire qu’on croit en lui, qu’on est fier de lui, qu’on l’admire.
- Utiliser la règle du témoignage : lui donner des exemples concrets de personnes qui ont été aidées par des professionnels, qui ont témoigné de leur expérience positive, qui ont changé leur vie grâce à cela. Lui montrer des articles, des vidéos, des livres qui parlent de ces personnes.
- Utiliser la règle du consensus : lui dire que beaucoup de gens vont voir des professionnels, que c’est normal, que c’est courant. Lui dire que ses amis, sa famille, ses idoles vont voir des professionnels ou l’ont fait dans le passé. Lui dire qu’il n’est pas seul dans cette situation.
Un kinésiologue peut aider Pierre. C'est un accompagnement qui peut lui apporter du bien-être, de la confiance, de la détente, etc. Il existe d’autres professionnels qui peuvent aider Pierre, comme des psychologues, des psychothérapeutes, des psychiatres, etc. Toutes ces personnes peuvent proposer des solutions adaptées aux besoins de Pierre.
Florence Bouillard
Il était une fois un petit lapin
Qui avait du mal à lire et à écrire
Il se sentait différent des autres
Et ne savait pas comment le dire
Il se mettait souvent en colère
Et frappait ses camarades
Il pensait qu’il était nul
Et qu’il n’avait pas sa place
Un jour, il rencontra une kinésiologue
Qui lui dit qu’il était unique
Elle lui expliqua que sa dyslexie
N’était pas une tare mais une richesse
Elle lui fit faire des activités
Pour l’aider à apprendre autrement
Et lui apprit à exprimer
Ses émotions et ses ressentis
Le petit lapin se sentit compris
Et retrouva son envie d’apprendre
Il trouva des solutions pour sa dyslexie
Et réussit à progresser à son rythme
Il ne se mit plus en colère
Et s’excusa auprès de ses amis
Il remercia la kinésiologue
Qui lui avait donné confiance en lui
Il se fit des copains de tous les animaux
Un écureuil, une tortue, un oiseau
Il découvrit le plaisir de partager
Et de vivre en harmonie
FIN.
FLorence Bouillard
https://www.kinesiologie-besancon.com/
Léa est une femme qui a du mal à se motiver pour faire les choses qu’elle doit faire. Elle procrastine souvent, c’est-à-dire qu’elle remet à plus tard des tâches ou des activités prioritaires et les remplace par des activités d’importance secondaire.
Elle passe des heures sur internet à regarder des vidéos ou à jouer à des jeux au lieu de travailler sur son mémoire de fin d’études, se sent coupable et stressée, mais elle n’arrive pas à se lancer.
Un jour, elle reçoit un appel de son directeur de recherche qui lui annonce qu’il a avancé la date de soutenance de son mémoire au mois prochain. Léa panique. Elle n’a presque rien écrit et elle ne sait pas comment faire pour rattraper son retard. Elle se dit qu’elle doit se mettre au travail tout de suite, mais n’y parvient pas. Elle se sent paralysée par la peur de l’échec.
Elle décide alors de faire quelque chose qu’elle n’a jamais fait : partir en voyage. Elle réserve un billet d’avion pour une destination lointaine, sans rien dire à personne, pensant que cela lui fera du bien de changer d’air et qu’elle y trouvera peut-être l’inspiration pour son mémoire.
Mais elle n’avait pas prévu que son avion aurait du retard. Elle doit donc attendre plusieurs heures dans la salle d’embarquement sans savoir quand elle partira. Dire qu'elle aurait pu profiter de ce temps pour travailler sur son mémoire !
Elle se met à feuilleter un magazine, sans vraiment y prêter attention et tombe sur un article qui parle de kinésiologie - une méthode qui permet de libérer les blocages émotionnels et physiques grâce à des tests musculaires. Elle trouve le sujet intéressant et se demande si cela peut l’aider à résoudre son problème de procrastination.
Elle regarde l’encadré qui indique les coordonnées d’une kinésiologue qui exerce près de chez elle. Peut-être pourrait-elle la contacter à son retour de voyage ?
Elle n’eut pas besoin d’attendre si longtemps, leva les yeux et vit que la kinésiologue en question était assise juste en face d’elle. Elle reconnut son visage sur la photo du magazine. Était-ce un signe du destin ?
Léa prend son courage à deux mains, engage la conversation, curieuse d’en savoir plus. La kinésiologue lui sourit et lui propose de faire une séance pour en découvrir les bienfaits.
Léa se dit qu’elle n’a rien à perdre, c'est une opportunité. Elle suit Sophie jusqu’à un coin tranquille de l’aéroport et se laisse guider.
Sophie lui pose des questions sur sa vie, son travail, ses difficultés, teste ses réactions musculaires en appuyant légèrement sur ses bras ou ses jambes, lui fait prendre conscience des émotions bloquées dans son corps qui l’empêchent de réaliser ses objectifs.
Elle lui fait remonter le fil de sa généalogie et découvrir que sa difficulté à terminer son mémoire a probablement un lien transgénérationnel. Cela lui rappelle qu’un de ses ancêtres a été un écrivain célèbre persécuté et emprisonné pour ses idées et contraint d’abandonner son œuvre inachevée ; il en a souffert toute sa vie.
Sophie lui explique que ce traumatisme transmis de génération en génération a peut-être créé chez Léa une peur inconsciente d’écrire et de s’exprimer, qu'elle peut se libérer de ce poids du passé et trouver sa propre voie.
Elle lui fait faire des exercices de respiration, de visualisation et d’affirmation positive, dire des phrases comme : "Je suis libre d’écrire ce que je veux", "Je termine mon mémoire avec plaisir", "Je réussis ma soutenance avec brio". Lui fait sentir une huile essentielle de lavande qui a des vertus apaisantes et stimulantes, écouter une musique relaxante qui favorise la concentration et la créativité et termine la séance en lui faisant un massage du cuir chevelu pour activer la circulation sanguine et l’oxygénation du cerveau.
Léa se sent plus légère et plus détendue. Elle remercie Sophie pour son aide et lui dit qu’elle se sent presque prête à travailler sur son mémoire.
Sophie lui explique qu’une loyauté familiale est un lien inconscient qui nous attache à notre famille et nous pousse à reproduire les schémas de nos ancêtres. C’est une façon de rendre hommage mais aussi de croire qu'on peut les aider à porter leur fardeau.
Léa a probablement une loyauté familiale envers son ancêtre écrivain, se sentant peut-être obligée de rester inconsciemment fidèle à son destin tragique.
Léa pouvait se libérer de cette loyauté et se donner le droit d’écrire et de réussir, rompre ce lien et retrouver son autonomie. Elle lui dit qu’elle devait reconnaître le mérite de son ancêtre et aussi accepter sa part d’ombre, voir sa souffrance et aussi lui dire merci pour son héritage culturel.
Elle lui fait faire un exercice de dialogue intérieur avec son ancêtre et dire des phrases comme : "Je te remercie pour ton talent et ton courage", "Je te vois avec ton malheur et ton abandon", "Je te rend ta culpabilité et ton regret, c'est ton histoire, il t'appartiennent", "tu fais partie de notre famille", "tu as une grande place dans mon coeur", "Je te laisse partir en paix".
Ces phrases lui font ressentir l’amour et la gratitude qu’elle éprouve pour son ancêtre, mais aussi lui permet de mettre la distance et la différence nécessaires entre eux-deux. Elle prend conscience qu’elle n’est pas lui et qu’elle a sa propre vie à vivre.
Puis elle répéte des phrases comme : "Je suis Léa, et je suis fière de qui je suis", "Je suis libre d’écrire ce que je veux et de le terminer", "Je suis capable de réussir mon mémoire et ma soutenance".
Elle lui propose de se procurer une huile essentielle de menthe poivrée qui a des vertus dynamisantes et clarifiantes, d'écouter une musique entraînante qui favorise la confiance et l’action.
Léa se sent plus forte, plus déterminée. Elle remercie Sophie pour son aide et lui dit qu’elle se sent prête à travailler enfin sur son mémoire.
Le haut-parleur indique que l'avion est prêt à décoler, Léa "prend son envol", le coeur léger vers la destination de ses rêve, déterminée à finir son mémoire avec facilité, élégance et professionnalisme.
Florence Bouillard
Il était une fois un petit garçon
Qui avait un gros souci de pipi
Chaque nuit, il mouillait son lit
Et se sentait triste et honteux
Il n’osait pas parler de son problème
Et se cachait derrière sa frange
Il avait peur des moqueries
Et restait seul à la récré
Un jour, il rencontra une kinésiologue
Qui lui dit qu’il était courageux
Elle lui expliqua que son corps
Exprimait quelque chose de fort
Elle lui fit faire des exercices
Pour l’aider à se sentir mieux
Et lui apprit à écouter
Ses émotions et ses besoins
Le petit garçon se sentit fort et joyeux
Et retrouva son envie de vivre
Il ne fit plus pipi au lit
Il n'eu plus honte de lui
Et se sentit fier et heureux
Il n’eut plus peur de parler de lui
Et se fit plein de copains
Et remercia la kinésiologue
avec un joli dessin.
Fin.
Florence Bouillard
https://www.kinesiologie-besancon.com/
Il était une fois un homme d’affaires
Qui se sentait stressé et amer,
Il avait perdu son sens du plaisir
Et ne savait plus comment s’épanouir
Un jour, il décida de changer
Et rencontra une kinésiologue éclairée
Qui lui proposa de rééquilibrer
Ses tensions corporelles et mentales
Par des mouvements simples et efficaces
Elle activa ses capacités d’adaptation
Et lui fit découvrir ses valeurs et ses désirs profonds
L’homme d’affaires se sentit soulagé
Et retrouva sa sérénité
Il remercia la kinésiologue
Qui lui avait ouvert les yeux
Il reprit sa vie en main avec harmonie et entrain
Et réalisa ses projets les plus chers
en étant respectueux de lui-même et des autres
Fin.
Florence Bouillard
https://www.kinesiologie-besancon.com/